Un des premiers trucs pris (et conservés) avec le nouvel appareil. J’en ai des souvenirs bizarres car outre la tronche un peu irréelle, c’était vers ce moment que j’avais remarqué le bug de balance des blancs de RawTherapee pour ledit appareil. Si ça se trouve, j’ai réglé ça à la main sur celle-là, d’ailleurs.

Au début j’abusais complètement sur les réglages, et il m’a fallu quelques discussions en ligne pour me calmer un peu et garder une meilleure marge de manœuvre sur la profondeur de champ et tout.

Point technique : Il y a toujours le mode « nuit / jour » ajouté l’autre fois (icône en haut, doduïfiée d’ailleurs) et j’ai aussi essayé de rendre la taille du texte un peu plus « adaptative » pour les écrans verticaux (orientation portrait). Et une ou deux autres broutilles.

Tenté de sortir l’espèce de bûche du fouillis. Toujours chaud, ce genre de bazar – les espèces de friches et tout.

C’est tout défoncé, ça, maintenant, je crois…

J’aime bien les espèces de cheveux de mousse flamboyante.

C’est bizarre : on dirait que les mecs en face ont tous bien tondu juste avant.

J’aime bien le décalage entre les lignes de fuite dans la partie basse et les arrondis qui vivent leur vie plus haut.

De plus gros gorets que moi auraient fait de l’empilage avec plusieurs mises au point différentes pour avoir l’insecte entièrement net, mais pas (encore) mon trip. D’ailleurs, j’étais encore avec mes réglages trop brutaux ; le moindre souffle faisait tout foirer.

Cette série aurait presque pu s’appeler « Fleurs à la con ».

On dirait un dégradé tout bugué derrière mais c’est une cloture des voisins je crois.

Lol, 1/2000 s ; le vent me saoulait trop.

Glycine qui a tendance à se doduïfier en mode fête du slip et après faut couper des zigouigouis dans tous les sens sinon on ne passe plus.

Recadré plus étroitement que prévu après avoir remarqué (plus d’un an plus tard) une abeille-guêpe-truc qui squatte, même s’il faut être bien réveillé pour la voir.

DES PIOUPIOUNIMAUX RONDS ET RIGOLOS.

Conditions tout sauf idéales. C’est ma moins pire, d’eux, je crois.

Boing-boing-scargot (faux).

J’avais jamais fait gaffe qu’il avait les yeux pas du tout pareils. Gros point noir et petit point.

Laurier je crois. Mais pas celui qu’on absorbe. Enfin peut-être que ça ne tue pas mais en tout cas on en absorbe un autre à la place.

FEUVAL.

Décor et lumière immondes, mais au moins il ne s’est pas barré en me montrant son arrière-train proéminent, ce coup-là.

L’herbe est davantage mise au point que lui… Comment ai-je fait ?

Un peu bateau mais bon je me suis amusé dessus après. Je crois que j’aime la différence de textures entre l’écorce rugueuse – presque rocailleuse par endroits – et les feuilles luisantes.

DES BOUBOULES ÉSOTÉRIQUES. C’est peut-être des gratte-arrière-trains en train de popper ? Ah, Google suggère le fusain d’Europe. Putain, j’ai lu « Euronymous » au lieu d’« Euonymus » quand Google m’a sorti le nom scientifique.

J’savais pas trop comment (re)cadrer.

Des boing-boing-pignons qui ont poppé au milieu des framboisiers. Avec grave de l’espèce de paillage. Et du givre-neige-truc.

Espèce de mousse-truc-machin qui réfléchit la lumière comme pas permis.

Recadrage assez violent car pas si dodu.

Résidus de là d’où j’ai pris les paysages embrumés publiés plus tôt dans l’année. Je crois.

Ancien appareil. J’ai dû faire mieux au même endroit depuis ; je ne sais plus. Tant pis. Ça traînait.

Ancien appareil aussi, mais se défend pas trop mal. Chaise de jardin. Truc tombé dessus. J’y suis pour rien.