Tellement un casse-tête pour moi ce genre de trucs… Impossible de satisfaire toutes les zones avec les courbes de tons et compagnie ; toujours l’impression qu’on fait partir tel ou tel élément en enfer.

Failli l’abandonner tellement les espèces de collines étaient prise-de-tête. Mais je crois qu’en fait elles sont naturellement mornes, donc bon…

J’aurais voulu qu’on remarque mieux l’éolienne, mais chaud.

En Ardèche, il y a davantage de maçons (et autres artisans du bâtiment en tout genre) que d’habitants.

Le mystérieux véhicule déjà croisé dans la série de photos principale.

UN FÉROCE PRÉDATEUR QUI DÉFONCE DES OISEAUX EN VOIE DE DISPARITION SANS RAISON !!

Il se faisait un peu trop tard, donc pas évident. Ça fait fatalement de la bouillie avec le sol et la végétation.

J’étais surtout intéressé par l’espèce de bout de sommet étrangement éclairé, mais ça ne fait pas tout.

J’avais des espoirs pour celle-ci, mais on ne comprend pas assez que c’est un genre de poulie, donc ça fait un peu trop bordélique.

J’l’aimais bien au début car traitée tôt, mais elle m’a lassé.

J’ai gardé la photo de son espèce de tableau de bord pour la série principale, et reléguée celle-ci ici.

Même pas six heures du matin, et j’ai imaginé que ça allait pouvoir donner quelque chose en couleurs… Je suis même revenu ajuster des paramètres pour faire une « version 2 » moins naïve, abandonnant l’idée de révéler de quelconques détails du sol, mais pas de miracle.

Moins extrême, mais tôt aussi. Compliqué.

Pas sûr que vous ayez droit de sitôt à quelque chose se rapprochant davantage d’un auto-portrait que ça…

Voilà, fini. Raah, je ne cesse de me dire qu’il faut que j’accélère mon workflow, mais c’est toujours l’inverse qui se passe. J’ai dû passer entre quarante et soixante-dix heures au total sur les trente-sept photos que totalisent les deux séries d’Ardèche. Repos, maintenant.